Bienvenue dans le monde d’après…

Un moment de détente en fin de journée …
Quand on est un peu pressé
Ici je peux aller à la mer qui est tout près…
Lors je me laisse glisser dans ses flots bleutés

 

Un simple choix à faire

Bercé par les flots je suis tantôt tourné vers la mer, tantôt tourné vers la terre.
Et c’est là d’un coup que tout s’éclaire…

Et si je regardais la grande étendue de possibilités qui s’offre à moi ? Cette mer turquoise, ces vagues sans cesse renouvelées…
Plutôt que les rues de cette ville étriquée et forcée d’être masquée ?

De la même manière, je peux choisir de m’attrister de voir tant de personnes masquées cette nouvelle normalité et qui tentent de culpabiliser ceux qui ne portent pas de masque ou plutôt me réjouir de constater que notre système arrive à un point tel de délabrement que l’on est en train de vivre la fin d’un monde ancien pour réinventer un monde nouveau.

Et face à moi toujours la grande Bleue… Ces flots majestueux
Et derrière moi ce monde de Peurs Bleues… Peur du Terrorisme, Peur du réchauffement climatique, Peur de l’orage, Peur du Covid-19 maintenant…

Et la prochaine Grande Peur c’est laquelle ? Toutes ces peurs et d’autre encore nous amènent à toujours perdre plus de libertés et c’est pour notre bien nous dit-on…

A la place de ces Peurs Bleues, je choisis la grande Bleue où je me baigne libre et heureux.

Oui, je peux me battre, manifester, aller contre un système puissant et bien établi pour que cela se sache que je ne suis pas d’accord et faire ainsi connaître mon point de vue différent.
Et en parallèle, je peux construire mon monde à côté, pour moins dépendre de la société mercantile dans laquelle je continue d’exister.
 

Je n’ai plus mis les pieds dans un supermarché depuis que le port du masque y est devenu obligatoire. Et je n’ai plus pris de moyens de transports en commun depuis que le port du masque y est devenu obligatoire.

Pour les courses, je vais chez les producteurs et dans des petites boutiques en plein air… Certes j’ai changé mon régime alimentaire et cela me coûte un peu plus cher et en même temps, je cultive ma liberté de choisir de ne pas porter de masque et aussi mon côté … fantasque…

Cela me rend un peu plus solitaire et aussi un peu plus solidaire d’une humanité qui s’éveille, qui veut gagner plus de libertés dans un monde qui veut toujours plus les lui ôter. A ma manière je participe à un grand élan vers des bouleversements qui arrivent inexorablement.

Je ne dis pas que j’ai raison sur toute la ligne. J’explique seulement mon changement personnel de paradigme.
Quand on vit sur une île, le temps passe différemment… Quand les paysages vous prennent et vous emmènent au firmament.
Porter un masque serait un non-sens évident.

Je préfère être libre un instant ou un an et profiter de la vie et respirer de l’air pleinement
plutôt que de bêler avec un troupeau dans une vie qui va en s’enlisant…

Pour ne plus être confiné et ne pas finir con-fini, je ne veux plus me conformer !

Belles découvertes à vous tous
Une vie verte à l’île Rousse

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