1er Mai – Fête du Temps Libre

Un rendez-vous avec l’avenir de l’humanité… et avec ceux qui nous ont donné la vie.
Par Jean Pierre Saulnier, coordinateur action Paradisme, en Europe.

Depuis des millénaires, l’être humain a lutté pour survivre. Il a chassé, cultivé, élevé, bâti. Il a inventé des outils, dompté des forces naturelles, attelé des animaux, perfectionné des techniques pour alléger ses efforts. Il s’est organisé en villages, puis en villes, en nations. Il a appris à vivre en société, souvent en se confrontant à d’autres peuples, à d’autres croyances, à d’autres formes de pouvoir.  

Cette lente ascension, marquée par d’innombrables épreuves, a été rendue possible grâce aux connaissances acquises… et à l’aide discrète mais précieuse de nos Créateurs venus d’ailleurs — les Elohim, scientifiques d’une civilisation avancée, qui ont donné naissance à la vie sur Terre il y a des millénaires et qui ont guidé les humains, leurs enfants, par l’entremise de leurs ambassadeurs, les prophètes.

À travers les âges, l’humanité a découvert, expérimenté, progressé.
Aujourd’hui, elle a atteint un point de bascule.

Car voici venu le temps où les machines, les intelligences artificielles, les nanotechnologies peuvent répondre à tous les besoins essentiels.
Voici venu le temps où la rareté n’est plus réelle, mais fabriquée par ceux qui profitent de l’ignorance, de la peur et de la soumission.
Voici venu le temps où travailler pour survivre n’a plus de sens.

Et pourtant, beaucoup restent attachés à l’ancien monde :
Un monde où l’emploi détermine la valeur d’un être humain.
Un monde où les privilèges sont défendus bec et ongles.
Un monde où les dirigeants exploitent les peuples sous couvert de sécurité, en maintenant la dépendance.

Mais ce monde s’effondre.

Les peuples s’éveillent. Ils comprennent que l’abondance est possible pour tous.
Ils voient que la science, loin d’être une menace, est une clé de libération.
Ils osent rêver — et construire — une société où chacun est libre de créer, d’aimer, d’apprendre, de s’épanouir.

Ce rêve porte un nom : le Paradisme.

Une société sans argent, sans travail obligatoire, sans gouvernements autoritaires.
Une société basée sur la coopération, la technologie au service de l’humain, et le droit universel au Temps Libre.

Et ce rêve est exactement ce que les Elohim espèrent pour nous.

Eux qui nous ont créés, non pour que nous souffrions, mais pour que nous atteignions la maturité.
Car chaque humanité, dans l’univers infini, arrive un jour à cette étape :
le choix entre l’autodestruction… ou l’élévation au rang de créateurs de vie.

Ce 1er mai, nous ne manifestons pas contre le travail.
Nous célébrons la fin du travail obligatoire.
Nous célébrons la science comme alliée.
Nous célébrons la libération de l’humain par les machines qu’il a lui-même conçues.
Nous célébrons la Fête du Temps Libre, la Fête du Paradisme,
et, avec reconnaissance, nous accueillons le message des Elohim qui nous disent :

Vous êtes prêts? Créez maintenant votre paradis sur Terre… et rejoignez la grande famille des civilisations créatrices.

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