Soutien à Nathalie Yamb

Abidjan, le 12 juillet 79aH* (2025)

La célébration de la Journée de l’Ambassade des Extraterrestres (E.T. Embassy Day), le 12 juillet 2025, destinée à préparer les populations à la venue prochaine sur Terre d’une civilisation extraterrestre — les Elohim — a été l’occasion choisie par le premier responsable du Mouvement Raélien en Kama, le Guide-Évêque Dr Tai Ehouan, pour exprimer le soutien de tous les Raéliens aux panafricanistes engagés pour la véritable indépendance de Kama (Afrique). 

« Dans le cas particulier de Mme Nathalie Yamb — la Dame de Sotchi, la Chevalière de Niamey et la Yennega de Ouagadougou — nous sommes simplement admiratifs et très fiers de ce qu’elle accomplit pour élever la conscience politique des Africains et les encourager à s’engager dans la lutte pour la souveraineté et l’indépendance de Kama », a déclaré Dr Tai Ehouan. « Nous lui réaffirmons notre soutien, encore plus fortement depuis la décision de l’Union européenne de geler ses avoirs et de lui interdire l’entrée dans les 27 pays de son territoire. »

Nommée Guide Honoraire de l’Humanité le 22 octobre 2022 par le Prophète Maitreya Raël, fondateur et leader spirituel de la religion Raélienne, Nathalie Yamb, militante et activiste panafricaniste, ne cesse d’illuminer la conscience politique des Africains — en particulier celle de la jeunesse — par son engagement exceptionnel dans la lutte pour la souveraineté du continent africain.

« Elle constitue un phare, une source d’inspiration majeure pour l’émergence d’un leadership féminin et d’une conscience politique supérieure chez les jeunes générations Kamites du monde entier. Kama et sa diaspora se doivent de protéger cette conscience contre le néocolonialisme et le racisme systémique des Blancs, » a poursuivi le Guide-Évêque Tai Ehouan.

Ce dernier conclut en rappelant l’appel solennel adressé en novembre 2024 par le Prophète Maitreya Raël à tous les peuples noirs du monde :

« Souhaiter se débarrasser définitivement des traces du colonialisme ne signifie pas entamer une lutte raciale à l’envers. Les anciennes victimes du racisme des Blancs doivent rester loin du racisme anti-blanc revanchard qui les rabaisserait au niveau infâme de leurs anciens exploiteurs. Ce que les Africains doivent exiger, c’est la fin du colonialisme sous toutes ses formes, qu’il soit culturel, religieux ou économique. Ce n’est pas la race qui est en question, c’est la citoyenneté. »