Comment se rapprocher d’un monde vraiment en paix?
- Seule la non-violence nous rapproche d’un monde vraiment en paix
- L’humanité a aujourd’hui 50 % de chances de survie. C’est le chiffre que Maitreya Raël a révélé officiellement ce 6 août, un chiffre qui résonne comme une alarme et une espérance à la fois. L’an dernier, à la même date, nous n’étions qu’à 6 %.
Cette amélioration n’est pas due à une prise de sagesse collective, mais à une montée de la peur : la peur qu’ont les dirigeants face aux armes nucléaires qu’ils ont eux-mêmes multipliées. La peur, paradoxalement, nous sauve en instaurant un équilibre fragile où chacun sait que s’il appuie sur le bouton, il sera lui-même anéanti.
Cette « paix par la peur » ne peut être qu’un passage. Car la peur ne suffit pas à construire un avenir. Ce qui peut vraiment transformer notre monde, c’est la capacité de chaque être humain à choisir la non-violence et à exercer son libre arbitre.
La non-violence : un choix conscient… Doit-on combattre le mal ou plutôt apprendre à le maîtriser ? La sagesse orientale nous rappelle l’équilibre du yin et du yang : il y a toujours une part de lumière dans l’ombre, et une part d’ombre dans la lumière. Le mal, aussi difficile soit-il à accepter, pousse parfois à renforcer le lien, à chercher des solutions, à inventer des chemins nouveaux. Il met au défi le bien de se dépasser.
C’est ainsi que les Elohim, nos créateurs, ont appris à dépasser leurs propres démons : ils ont su transformer leurs pulsions en énergie créatrice, jusqu’à voyager dans l’espace et semer la vie sur d’autres planètes. Mais eux-mêmes restent vigilants, car même une civilisation avancée peut retomber dans ses travers. La vigilance est la clé : on ne supprime pas l’ombre, on l’apprivoise.
L’agressivité n’est pas mauvaise en soi. Elle est cette impulsion vitale qui nous pousse à bouger, à créer, à transformer le monde. Mais lorsqu’elle se déséquilibre, elle devient violence. Sans agressivité, nous serions comme des robots sans conscience, passifs ; avec trop de violence, nous sombrons dans la destruction. Tout l’enjeu est là : choisir, librement, d’orienter cette force vers la créativité plutôt que vers la mort.
Les Elohim, sur leur planète, ont su éviter les guerres. Non pas en supprimant génétiquement l’agressivité – ce qui aurait supprimé en même temps la liberté – mais en organisant leur société de manière à canaliser cette énergie.
« Chaque fois que vous méditez pour la paix, vous influencez les gouvernements »
(Raël – 6 août 80aH – Contact 418) -
Nous aussi, sur Terre, nous avons ce choix à faire. Nous avons 50 % de chances de survivre. Mais ces 50 % ne dépendent pas des armes ou des gouvernements : ils dépendent de nous. Chaque méditation pour la paix, chaque sourire donné, chaque acte de non-violence fait pencher la balance du bon côté. « Je suis sûr qu’avant l’an prochain nous serons proches de 90% » (Raël – 9 septembre 80aH).
La peur peut maintenir un fragile équilibre. Mais seul l’amour, la conscience et le libre arbitre orienté vers la non-violence peuvent faire naître une civilisation digne de la beauté de la vie et capable de rejoindre les civilisations pacifiques et avancées de l’univers.
Voilà le véritable défi, et aussi la plus belle promesse. L’avenir n’est pas écrit : il dépend de nos choix, de notre conscience et de notre capacité à aimer. -
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- 80aH* : Le 6 août, date anniversaire de l’explosion de la bombe atomique sur Hiroshima marque l’entrée de l’Humanité dans une période charnière. C’est aussi le début du calendrier raélien : depuis le 6 août 2025, nous sommes en 80aH, 80 après Hiroshima. (Lire plus à ce sujet)

« Chaque fois que vous méditez pour la paix, vous aidez l’humanité à se rapprocher de ce monde non violent »
(Raël – 6 août 80aH – Contact 418)
« Chaque fois que vous méditez pour la paix, vous aidez l’humanité à se rapprocher de ce monde non violent »
– Éditorial par Maryline Canin, Guide raélienne – Lire la NewsLetter complète