Les pouvoirs créent la peur pour contrôler les peuples
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Vous vous souvenez de la “peur” des pluies acides (années 1980-90) ? Celle du bug de l’an 2000 (1998-1999) ? La grande peur soutenue par les médias autour du Sida (à partir des années 1980) et du SARS (2002-2003) ? Voici le commentaire de Maitreya Raël à ce sujet :
“Les médias et les pouvoirs ont toujours essayé de susciter des peurs pour contrôler les gens. La peur de la guerre, des invasions, des pluies acides, des bugs informatiques de l’an 2000, du SIDA, du SRAS et maintenant de la Covid-19… Il s’avère que ces craintes répandues se sont révélées être largement infondées.”
– Maitreya Raël – 13 février 75aH*/ 2021
1960-1970 : Les abris anti-atomiques américains n’ont jamais fonctionné
Selon History.com de 2017, les abris anti-atomiques construits aux États-Unis durant la guerre froide présentaient de nombreux problèmes comme des fuites au niveau des réservoirs d’eau, des approvisionnements manquants et même les emplacements choisis pour les construire étaient discutables. Ces abris ont-ils été créés dans le seul but d’apaiser les craintes entretenues par les médias sur ce qui se passerait si les Soviétiques envoyaient “la grande bombe” ?
Années 1980-90 : Vous vous souvenez de la “peur” des pluies acides ?
Un article de Forbes.com de 2014 revient sur la peur de l’impact des pluies acides ? après dix années d’études, il s’avère que ces craintes répandues en Europe occidentale se sont révélées être largement infondées, puisqu’une seule espèce d’arbre à haute altitude a subi un effet notable, et que l’acidité des lacs était due à des causes naturelles. L’article détaille aussi l’avènement de la peur du réchauffement climatique à base de motifs financiers. C’est l’utilisation de la fibre écologique et de la peur pour contrôler les masses.
1998-1999 : Le bug de l’an 2000 semble être une blague 20 ans plus tard…
En 2019, Time.com, rapporte que certains Américains ont fait des provisions en prévision d’une apocalypse provoquée par l’ordinateur vers les années 1998-1999. Mais, la crise de l’an 2000 ne s’est pas produite précisément parce que les gens ont commencé à s’y préparer plus d’une décennie à l’avance. Et le grand public n’avait tout simplement pas été mis au courant que les programmeurs avaient pris en charge le sujet, explique Paul Saffo, professeur adjoint à l’université de Stanford.
2014 : Paranoïa et santé, des leçons de l’épidémie du SIDA pour Ebola?
Selon nejm.org, pour ceux d’entre nous qui ont vécu les premiers jours de l’épidémie de sida aux États-Unis, la panique nationale en 2014 au sujet d’Ebola rappelle de très mauvais souvenirs. La première décennie de l’épidémie de sida a engendré un type d’hystérie similaire à celle d’Ebola, visant principalement les personnes vivant avec le virus. Plusieurs politiciens ont appelé à la mise en quarantaine de toute personne ayant été testée positive au VIH. Heureusement, ces mesures n’ont été que rarement utilisées.
2015 : Les plus grandes peurs dans le monde
Selon Visualcapitalist.com, les nord-américains et les européens sont généralement ceux qui craignent le plus l’inégalité. Les africains sont ceux qui craignent le plus le sida et d’autres maladies. Les sud-américains ont le plus peur de la guerre nucléaire et les asiatiques ont le plus peur de la pollution et des préoccupations environnementales. Enfin, les habitants du Moyen-Orient sont les plus préoccupés par la haine religieuse et ethnique. Les médias peuvent entretenir la peur pour contrôler les populations avec la crainte la plus adaptée par continent…
2021 : La nouvelle souche SARS-COV2 ne justifie pas de nouvelle panique
Selon un expert en maladies infectieuses cité par Futurity.org, la nouvelles souche de SARS-COV-2 ne justifie pas une panique telle qu’elle existe actuellement. “Il n’est pas encore démontré que ces souches (britannique et sud-africaine) sont biologiquement différentes d’une manière qui nécessiterait une modification des recommandations actuelles visant à limiter la propagation de la COVID-19″. Il rajoute aussi que “ces variants sont peut-être plus aptes à se propager, mais rien ne prouve qu’ils sont plus dangereux en termes de risque de provoquer une forme plus grave de COVID-19”.
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- 75aH* : Le 6 août, date anniversaire de l’explosion de la bombe atomique sur Hiroshima marque l’entrée de l’Humanité dans l’âge de la révélation. C’est aussi le début du calendrier raélien : depuis le 6 août 2020, nous sommes en 75aH, 75 après Hiroshima. (Lire plus à ce propos)
Les médias et les pouvoirs ont toujours essayé de créer la peur pour contrôler les gens.
Il s’avère que ces craintes répandues se sont révélées être largement infondées.