Bienheureuse insécurité

Nous sommes en 2021 après Jésus-Christ, toute la Presse est muselée par les Puissants. Toute? Non! Une poignée d’irréductibles journalistes résistent encore et toujours à la tentation de la pensée unique.

Cette allusion à l’univers d’Astérix n’est pas anodine; nous assistons à une véritable empoignade entre les « pros » et les « antis » vaccins /mesures coercitives ! David contre Goliath, puisque pour donner l’exemple de la province de Québec, le gouvernement de la CAQ sort les millions de $$$ en utilisant les médias officiels afin de faire passer son unique message : point de salut hors du vaccin! Nous verrons plus loin que cette affirmation est fausse; des traitements autres que vaccinaux ont fait leurs preuves!
 

Une poignée d’irréductibles journalistes ?

Dans toute cette saga, les journalistes semblent avoir perdu toute indépendance face au pouvoir en place, et toute voix dissidente est systématiquement écartée. Heureusement, certains journalistes ou chroniqueurs font toujours honneur à leur profession, le cas de Stéphane Bureau qui interview Didier Raoult, oh péché, et qui se voit rabrouer par l’Ombudsman de Radio-Canada. Pour une interview, somme toute, plutôt inoffensive!

Alors, dans le camp des braves Gaulois assiégés de toutes parts, y a-t-il d’autres voix qui se font entendre? Il semble que oui! Christian Dufour, politicologue et auteur, et pour l’occasion collaborateur pour le journal La Presse+, écrit en introduction de son texte titré « La sécurité avant la liberté » : « Cela a été le pourcentage et la déclaration de trop. Quand le docteur Horacio Arruda et d’autres experts ont avancé qu’il fallait désormais que 95 % des Québécois soient vaccinés contre la COVID-19, le directeur de la Santé publique n’écartant pas que les mesures sanitaires soient là en permanence. »(1) Et d’ajouter : « Cela confirmait ce que je craignais dans La Presse en février : l’implantation définitive dans notre société, sous les applaudissements de la plupart, d’une nouvelle idéologie sanitaire faisant passer systématiquement la sécurité avant la liberté. »

L’important message véhiculé par ce chroniqueur est d’une grande lucidité, et surtout d’une grande justesse! Allons-nous accepter, en tant que société, et « sous les applaudissements de la plupart » (ce qui est encore plus inquiétant) de jeter notre liberté aux poubelles au nom d’une illusoire sécurité? Cet avertissement rejoint à 100 % le message du prophète Raël : « Je suis pour la liberté de vivre et de risquer sa vie comme on le souhaite. »(2)

Dans un tel contexte où tout individu remettant en question le narratif officiel est qualifié de complotiste, Christian Dufour y va de cette phrase savoureuse : « Pour une idéologie sanitaire devenue hégémonique, l’accusation d’être un complotiste est devenue l’équivalent de celle d’être un hérétique pour le dogme catholique d’antan. » Alors allons-y d’une belle hérésie, que nos chers gouvernants ne pourront plus camoufler encore bien longtemps : des alternatives existent bel et bien aux vaccins COVID et ont fait leurs preuves, comme le mentionne Jacques Pollini, PhD et chercheur au Département d’anthropologie de l’Université McGill : « La Covid peut notamment être traitée par l’ivermectine » (Bryan et al 2021, Hill et al. 2021, Kory et al. 2021)(3). Cette molécule, souvent associée à l’antibiotique doxycycline, a déjà été utilisée à grande échelle et avec succès au Pérou (Chamie-Quintero et al. 2021), au Mexique (Merino et al. 2021) et dans certains états en Inde. Le prétexte premier pour justifier la vaccination tous azimuts, c’est justement l’inexistence de tout traitement alternatif, ce qui apparait comme un odieux mensonge!

Une société qui choisit de placer la sécurité avant la liberté, c’est une société qui choisit de se laisser gouverner par la peur. Avoir peur nous protège-t-il? De la maladie, de la mort? Elle nous empêche plutôt de vivre, n’est-ce pas? Le remède n’est-il pas d’accepter l’inévitable? C’est ce que transmet Maitreya Raël avec ces merveilleuses paroles :

« Les gens vivent maintenant en ayant peur, tellement peur… de mourir. C’est tellement drôle! De voir tout le monde avec des masques, des vaccins, mettant de la distance.
Peur de mourir. Wow! Tout le monde va mourir, nous allons tous mourir. Et alors? Si tu as peur de mourir : tu mourras. De toute façon! »
  – Maitreya Raël Mai 2021 – (4)

Une fois la peur évanouie, que reste-t-il? Le bonheur de vivre, chaque moment comme si c’était le dernier! Et, parait-t-il, le bonheur est excellent pour le système immunitaire! Mais ça, il ne faut surtout pas le dire aux politiciens…!

Jean Riendeau
Chroniqueur pour le Mouvement Raélien

(1) Lapresse.ca

(2) Rael.org

(3) Anthropo-logiques.org

(4) Rael.org/

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