UN CALENDRIER COMMUN POUR TOUTE L’HUMANITE

Le 22 janvier est la fête du nouvel an chinois. L’occasion de souligner, une fois de plus, le choix arbitraire du calendrier chrétien, pris comme référence par l’ONU.
Armelle Lahogue, guide raélienne, explique pourquoi l’établissement d’un calendrier dont le premier jour serait le 6 août aurait valeur exemplaire pour la paix.
Plus que jamais aujourd’hui, dans un contexte de guerres multiples internationales : militaires, politiques, économiques, religieuses, à grandes et petites échelles, notre humanité a besoin de trouver un sens à ce monde. Les repères de temps et d’espace échappent à toute logique, perpétuant les injustices, les frustrations, les conflits, la misère physique et morale.
 

Mais par où commencer à apporter du sens ?
Pourquoi pas avec un calendrier commun à tous, quel que soit le pays, la religion, l’histoire ? Un calendrier ne privilégiant aucune culture. Il est une date dont le sens profond concerne toute l’humanité : le 6 août 1945, date de l’explosion de la bombe atomique à Hiroshima, exposant au monde entier la désastreuse possibilité de détruire toute vie sur terre.
Ce bombardement et celui qui a suivi à Nagasaki, qui a pris pour cible des villes avec des civils et entrainé la mort de centaines de milliers d’entre eux, fait émerger la conscience de l’extrême fragilité de notre vie sur terre, et pousse à avoir une vision planétaire de notre vie à tous.
6 août 77 après Hiroshima
Cette date est donc un événement planétaire, au sens le plus pratique et vital qui soit.
Adopter un calendrier planétaire démarrant le 6 août 1945, serait une mesure commune juste pour tous les pays du monde, les religions, les cultures.
 

La proposition de Maitreya : ICACCI
Jusqu’à présent le calendrier chrétien est utilisé alors qu’il n’a aucune signification pour la plus grande majorité des habitants de notre terre.
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Un calendrier commun à l’Humanité est un premier pas vers un monde plus juste et humanitariste.
L’attitude colonialiste du monde occidental doit s’effacer devant le besoin urgent de paix mondiale, car nous sommes à la croisée de 2 avenirs : La fin de la vie sur cette planète, ou, l’établissement d’un monde de paix, de fraternité, de solidarité et d’abondance pour tous les humains.
L’esprit belliqueux détruit, tant au niveau de chaque individu qu’au niveau des états, ainsi que chez les grands acteurs économiques mondiaux, la paix sera pour tous ou pour personne.morale.
 

Ce calendrier non religieux est important pour faire prendre conscience de l’urgence de construire un monde différent, amenant non seulement de l’espoir mais une réalité tangible d’unité, de tolérance, de bonheur et d’abondance, avec l’aide de la science pour résoudre les problèmes qui se posent à l’humanité, cette science, accompagnée d’un sens profond d’humanité et de fraternité, car nous sommes unis dans notre destin de terrien.
L’Organisation des Nations Unies doit tracer plus fortement la voie correspondant à sa propre définition qui est « Le maintien de la paix et de la sécurité internationales et la protection des droits humains ». Ce calendrier mondial représente le premier acte dans le sens de son véritable rôle inspiré par les deux effroyables guerres mondiales de la première moitié du vingtième siècle. Ces belles intentions auraient-elles tiédi dans un confort de nantis ? Nous avons des défis à relever, et à relever ensemble, tels que les changements climatiques, la surpopulation, la pauvreté, l’éducation, etc.

Tous ensemble, organisés en communauté de « ‘régions’ » avec une coordination mondiale, adopter un calendrier qui a du sens pour tous, c’est préparer le véritable avenir pour notre humanité.

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