Un match de football avec la Palestine

Samedi 15 novembre avait lieu un match de football historique devant 50.000 spectateurs dans le stade de l’Athletic de Bilbao. En effet La sélection de la Palestine est arrivée au Pays basque pour jouer un match contre la sélection nationale de la région. Un match symbolique, qui tente d’œuvrer pour la paix. On ne peut que feliciter les initiatives qui permettent de soutenir les peuples qui souffrent.
 

Gaza n’est pas seulement un territoire occupé, c’est la manifestation la plus actuelle d’un système capitaliste et colonial qui, depuis des siècles, accapare terres, ressources et vies. Des massacres de la colonisation aux guerres mondiales où des millions d’êtres humains sont sacrifiés pour des intérêts financiers, la logique est immuable : le profit prime sur les vies.

Aujourd’hui à Gaza, sous un blocus meurtrier, le peuple palestinien est dépossédé de tout — jusqu’à son droit fondamental à l’existence. Ici, comme hier ailleurs, la logique capitaliste qui réduit l’humain à une variable d’ajustement atteint son paroxysme : les vies y sont tout simplement jetables, sacrifiées sur l’autel du profit et de la géopolitique. Mais Gaza ne doit pas rester un symbole de souffrance. Elle doit devenir le cri de ralliement qui brise ce cycle historique d’exploitation. La liberté de Gaza est le premier pas vers la liberté de l’humanité tout entière. Pour que Gaza soit libre, il faut abattre ce qui l’étouffe et nous opprime tous : l’accaparement des biens communs, l’exploitation de la valeur humaine, la mainmise de l’argent sur notre avenir.

La solution n’est pas dans la réforme mais dans la révolution : une société où l’intelligence artificielle et les robots — fruits de notre créativité collective — nous libèrent du travail aliénant. Une production collective et écologique, organisée pour la vie, non pour le profit. La gratuité du logement, de la nourriture, de la santé et de l’éducation comme droits inaliénables. C’est le Paradisme qui ouvre cette voie : un mouvement mondial vers une société d’abondance, où la dignité ne dépend plus de la vente de sa force de travail.

Libérer Gaza dépasse le cadre du droit international. C’est un impératif moral pour briser une fois pour toutes la logique mortifère de l’accaparement capitaliste. C’est un premier pas décisif vers un monde sans maîtres ni esclaves, un monde de solidarité, où chacun vit libre, nourri, logé et heureux.

Cette vision du Paradisme, prônée par Raël et le Mouvement Raélien, propose une société sans argent où la technologie, au service de l’humain, permet à chacun de s’épanouir dans l’abondance et la gratuité totale (*paradism.org).

Gaza libre. Humanité libre. Fin du capitalisme. Vive le Paradisme.

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